mercredi 14 décembre 2016

La soirée "15 ans d'égalité des chances" à Sciences-po - 13 décembre 2016

Sciences Po fêtait hier soir, mardi 13 décembre, les 15 ans de son programme Conventions éducation prioritaire. 
Créé en 2001, le programme CEP est l’un des dispositifs phares de la politique d’égalité des chances de Sciences Po. 
Celui-ci a permis à 11 000 jeunes originaires de zones d’éducation prioritaire de se porter candidats à Sciences Po et à 1611 d’entre eux d’y être admis.
Pour fêter cet anniversaire, Sciences Po a choisi de donner la parole à ceux qui “font” le programme. Anciens du programme, étudiants actuels, ainsi qu’un proviseur, ont été invité à monter sur scène pour raconter leurs parcours, leurs souvenirs, leurs anecdotes en lien avec les CEP.
La soirée avait lieu en présence de Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, de Valérie Pécresse, présidente du Conseil régional d’Ile-de-France et de Frédéric Mion, directeur de Sciences Po.
Pour ceux qui n'ont malheureusement pas pu être parmi nous, je vous transmets le lien de cette soirée qui vous permettra de la voir en replay :
Comme vous pourrez le constater, le replay contient 3 vidéosLa première vidéo commence à partir de 13mn21 et le discours de Najat Vallaud-Belkacem à partir de 14mn43.

vendredi 9 décembre 2016

Est-ce que Sciences Po mène vraiment à tout? Le Monde - 9 décembre 2016

Est-ce que Sciences Po mène vraiment à tout ?

Viser l’un des dix instituts d’études politiques est-il une bonne stratégie quand on est bon élève et qu’on n’a pas encore de projet professionnel ? D’anciens diplômés témoignent.
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Les instituts d’études politiques comptent aussi des profils atypiques.
L’idée est largement répandue : Sciences Po Paris, tout comme les neuf autres instituts d’études politiques (IEP), mène à tout et serait un choix d’études judicieux pour des élèves conjuguant bons résultats et vision floue de leur avenir. Est-ce bien le cas ?
Ça l’est plutôt, si l’on en croit les nombreux diplômés qui ont répondu à notre appel à témoignages sur le sujet : ils exercent désormais dans des secteurs particulièrement variés, et tous ont le sentiment que ce cursus leur a ouvert des portes.
« Faites Sciences Po si vous voulez apprendre et penser. Après, vous penserez à un métier », témoigne Alexandra Calmès, diplômée de Sciences Po Aix-en-Provence, devenue éditrice. La spécialisation s’effectuant en master, les IEP laissent en effet du temps pour choisir sa voie, avec un enseignement multidisciplinaire qui développe les capacités d’argumentation et d’expression écrite et orale, la curiosité, le goût du débat d’idée, l’ouverture sur la vie de la cité et sur le monde.
Directrice marketing dans une entreprise du secteur des cosmétiques à Genève après avoir suivi le cycle franco-allemand de Sciences Po Paris, Caroline Kovacs se définit comme un « bébé ScPo » : « Cette école m’a avant tout ouvert les yeux et l’esprit à d’autres gens, d’autres cultures, d’autres manières de voir le monde et la vie. » Elle a développé son « esprit critique »… et Sciences Po est « la soooo French Touch de l’enseignement supérieur hexagonal ! », témoigne-t-elle avec enthousiasme.
Quant aux débouchés, ils sont particulièrement nombreux : dans l’audit et le conseil, l’administration publique, la banque/finance/assurance, l’industrie/énergie/transport, marketing/communication, les ONG/associations, égrène l’enquête d’insertion des jeunes diplômés de Sciences Po, tandis que celle de Sciences Po Strasbourg met aussi en avant la gestion de projet, la culture, le juridique…


image: http://s2.lemde.fr/image/2016/12/09/534x0/5046121_6_d978_repartition-des-emplois-des-diplomes-de_4878d0a338ac4132df9327e35da8f41b.png
Répartition des emplois des diplômés de Sciences Po (Paris) par secteurs d’activités (promotion 2014).
L’orientation « sciences sociales » de la formation et la proximité historique avec la sphère publique dans son ensemble restent des caractéristiques déterminantes d’insertion professionnelle. Entre 25 % et 30 % des diplômés, selon les IEP, se consacrent directement aux métiers de la fonction publique.
Comme Louis Bégards, 25 ans, diplômé de l’IEP d’Aix-en-Provence, devenu haut fonctionnaire à Bercy : « Sans ce parcours, je n’aurais pas eu la culture, les codes et la sérénité nécessaires à la réussite aux concours de la fonction publique », explique-t-il. Sciences Po a fait savoir le 5 décembre que 81,4 % des admis à l’Ecole nationale d’administration (ENA) sont passés par l’institut parisien.
Les moindres recrutements dans la fonction publique ont néanmoins amené les diplômés – comme les IEP – à regarder dans d’autres directions depuis longtemps. Notamment aux confins du monde politique et administratif : nombreux sont les assistants parlementaires à Paris ou au Parlement européen, collaborateurs de cabinets ministériels ou de collectivités.
Valentine Montesse, 23 ans, diplômée de l’IEP de Lyon et collaboratrice politique dans un conseil départemental, dit : « Plus que des savoirs académiques précis, c’est avoir la culture Sciences Po qui m’aide énormément dans ce premier emploi. »
Mais le cercle s’élargit. Sciences Po Paris souligne que la proportion de ses diplômés actifs qui exercent dans le secteur privé progresse depuis plusieurs années, pour atteindre 73 %. Une veine que l’établissement lui-même continue de creuser, notamment en lançant, à la rentrée 2017, son école du management et de l’innovation, pour développer ses masters dans ces domaines.
L’étendue des possibles peut néanmoins se révéler un handicap. De bons élèves sont déçus de ne pas avoir trouvé leur voie, et de ne pas avoir été davantage guidés. Ainsi, Corentin Le Bris-Cep, 23 ans, avait choisi « le master affaires publiques, filière générale, comme beaucoup font un bac S : le cursus qui ouvre probablement le plus de portes quand on ne sait pas trop quoi faire ». Avec pour résultat de le décourager du débouché principal : la préparation des concours comme celui de l’ENA. Il a signé, depuis, un CDI dans le secteur associatif. Et se rend compte que ses cours favoris auront été… « les ateliers artistiques ».

« Les “humanités” n’ont pas vraiment le vent en poupe »

Pour Lucile Calon, diplômée de Sciences Po Lille en 2009, ce sont les débouchés qui se sont révélés décevants : elle a d’abord œuvré « quelques années dans le domaine de la coopération Nord-Sud, notamment à l’étranger », mais « il s’agissait de stages ou de volontariat international ». Le « côté généraliste » de la formation lui est apparu « peu valorisable » sur un marché du travail « où les employeurs cherchent souvent des compétences concrètes et où les humanités n’ont pas vraiment le vent en poupe ». Elle a finalement tenté, et réussi, un concours de la fonction publique, « avec l’envie d’être utile à la collectivité ».
« Au-delà de la singularité de mon parcours, j’ai pu observer que, à l’exception des gens ayant opté pour une orientation entrepriseet ceux s’étant directement dirigés vers les concours de la fonction publique, les diplômés de l’IEP mettaient quelques années à intégrer le marché du travail et passaient souvent par des stages à répétition, voire reprenaient leurs études », ajoute la jeune femme.
Quant à l’éditrice Alexandra Calmès, citée précédemment, si elle rend hommage à la diversité des parcours de ses anciens camarades de l’IEP aixois (édition, audiovisuel, économie sociale et solidaire, affaires européennes, diplomatie, gestion culturelle, affaires publiques), elle prend soin de préciser que « le seul point commun, c’est qu’on a tous fait un deuxième master derrière ».
Un quart des diplômés 2014 de Sciences Po Paris ont continué leurs études, alors que c’est le cas de seulement 10,1 % en moyenne des diplômés des grandes écoles françaises (principalement de commerce et d’ingénieurs). Parmi les témoignages reçus, ces profils sont nombreux, auxquels s’ajoutent d’autres doubles-diplomés heureux, qu’ils aient suivi un autre cursus en amont de Sciences Po ou en cours de scolarité, notamment lors d’une année à l’étranger.
Antoine Féliers est ainsi devenu avocat spécialisé dans la propriété intellectuelle à l’issue de son entrée « en master de droit, dans le cadre d’un accord avec [s]on école d’ingénieur ». Et souligne qu’il a « trouvé du travail avant même de sortir de Sciences Po ».

Passer du public au privé

Pour autant, l’adaptabilité et la transdisciplinarité des diplômés leur permet aussi de changer de cap et de rebondir sans forcément repasser par la case études. Diplômé à la fois de Sciences Po et de l’université Pierre-et-Marie-Curie, avec un double cursus en sciences et politiques de l’environnement, Thomas Matagne a d’abord suivi son projet de « travailler dans l’action publique dédiée à l’environnement », au conseil régional d’Ile-de-France puis au ministère de l’écologie, avant de ressentir le besoin « d’en sortir pour plus d’action, plus de concret, plus d’agilité et de rapidité » : il est devenu entrepreneur ; il a cofondé Ecov, une start-up de covoiturage.
Nicolas Bammez, 28 ans, diplômé du master affaires publiques de Sciences Po Grenoble, a « tout d’abord évolué dans l’univers politique » – au Sénat, à l’Assemblée nationale puis au ministère de l’écologie –, avant de devenir directeur de la communication et du marketing de Nox, un groupe d’ingénierie.
Les IEP comptent aussi des profils, et devenirs, atypiques : après avoir travaillé, une fois diplômé de Sciences Po Lille, dans la publicité et l’analyse cartographique et immobilière, Martin Bafoil, 33 ans, est devenu dessinateur de presse. Cette passion lui procurant des revenus trop irréguliers, il a dû embrasser, parallèlement, un second métier, et enseigne l’allemand dans le secondaire. « Pour moi, Sciences Po mène donc à tout », conclut le dessinateur et professeur… A côté des voies royales et des carrières toutes tracées, à chacun de se frayer un chemin.

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/campus/article/2016/12/09/est-ce-que-sciences-po-mene-vraiment-a-tout_5046122_4401467.html#mV15eo4hXduCobgx.99

jeudi 8 décembre 2016

L'examen d'entrée n'est plus la principale voie d'accès à Sciences-po (Le Monde)

L’examen d’entrée n’est plus la principale voie d’accès à Sciences Po

Le nombre de candidats en première année à l’institut d’études politiques parisien a augmenté de 10 % en 2016. Pour la première fois, les admis par la procédure internationale ont été plus nombreux que les admis à l’examen, toujours plus sélectif.
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Le campus de Sciences Po, à Reims.
Le nombre d’étudiants candidats à Sciences Po (Paris) augmente et le nombre d’admis aussi… mais les modalités sont en train de changer. Le nombre de candidats à l’admission après le bac, toutes procédures d’accès confondues, a atteint en 2016 le nombre de 10 145 et marque une hausse de 10 %. Et c’est la procédure dite « internationale » qui est devenue, pour la première fois, la principale voie de recrutement, avec 849 admis, devant l’examen d’entrée classique.
La procédure internationale d’entrée au collège universitaire est aussi celle qui s’est avérée la moins sélective : sur les 2 853 candidats, 29,75 % ont finalement intégré l’institut d’études politiques (IEP) parisien. Cette procédure, sur dossier et entretien, s’adresse à des « profils internationaux » : des élèves venus de l’étranger mais aussi des lycéens français ayant suivi un parcours international, à l’étranger ou au sein de lycées internationaux en France.
Elle n’ouvre pas la voie au premier cycle du programme général, mais à des programmes géographiquement sectorisés, situés sur les campus régionaux de Sciences Po (Nancy, Dijon, Poitiers, Menton, Le Havre ou Reims) : par exemple, le cursus franco-allemand ouvert à Nancy en 2000. Sur ces campus sont aussi proposés des double diplômes avec des universités partenaires, comme la Freie Universität Berlin.

De plus en plus sélectif

Passer l’examen traditionnel (constitué de trois épreuves écrites – à moins d’en être dispensé grâce à un excellent dossier, suivies d’un oral d’admission) ne constitue donc plus le principal moyen d’entrer en première année à Sciences Po : 804 candidats ont été admis sur 5 528 candidats, soit un taux de succès de seulement 14,5 %. L’examen est de plus en plus sélectif : son taux de succès est en constante diminution ces dernières années (15,1 % en 2015 et 20 % en 2009), hors l’année 2013, où le changement des conditions d’admissions avaient entraîné un nombre inhabituel de candidatures.
A noter que ces candidats peuvent rejoindre les campus régionaux (comme les admis de la procédure internationale) ou suivre le cursus général, à Paris.
Enfin, la procédure d’admission des élèves par les conventions d’éducations prioritaires (CEP) affiche des résultats stables, et un taux de sélectivité élevé : 163 élèves ont été admis cette année sur les 956 qui avaient suivi les ateliers de préparation à Sciences Po dans l’un des 106 lycées partenaires situés en zone d’éducation prioritaire (17 %). Parmi ces derniers, 774 auront passé la procédure d’admissibilité comportant plusieurs épreuves, avant l’oral d’admission.

Deux-tiers de filles

Sciences Po précise par ailleurs que plus de la moitié des candidats (54 %) et des admis (52 %) sont issus de bac ES, mais que les bacheliers S et L réussissent aussi bien. D’autre part, « environ deux tiers des candidats et des admis sont des filles ». Toutes procédures confondues, ils sont issus de 1 020 lycées en France et à travers le monde, contre 878 en 2015.
Concernant l’entrée en second cycle (master), le nombre de candidats a augmenté de 4 % en 2016, avec une internationalisation encore plus marquée. Si 449 étudiants en master ont été admis sur examen (soit un taux de succès de 18,7 %) en 2016, les 1 423 autres proviennent de la procédure internationale et de double diplômes (avec un taux de succès de 36,5 % par cette voie), un chiffre qui a fortement progressé depuis 2009.
En troisième cycle, enfin, Sciences Po a admis 28 des 231 candidats à son école doctorale.
A la faveur de l’ouverture de ses campus régionaux, de la création de ses double diplômes et de son internationalisation, Sciences Po a donc changé rapidement de visage, et de taille. En 2016, 1 053 candidats de plus qu’en 2015 auront été admis, aux différents niveaux.

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/campus/article/2016/12/08/l-examen-d-entree-n-est-plus-la-principale-voie-d-acces-a-sciences-po_5045951_4401467.html#SBbulZ32q7HK1AF6.99

VISITE DE L'ASSEMBLEE NATIONALE - 23 JANVIER 2017

Les élèves de l'atelier sciences-po sont invités par le député de la circonscription, Olivier Faure, à visiter l'Assemblée Nationale le 23 janvier prochain à 16 heures.


mardi 6 décembre 2016

ATELIER EN PREMIERE - JEUDI 8 DECEMBRE 2016

Séance animée par MM. Charbonnier et Courvoisier

- Annonce visite Assemblée Nationale le 23 janvier à 16H00.

- Renoncement de François Hollande: réactions.

- Révisions: placer les candidatures déclarées à gauche sur l'échiquier politique.

- Principales forces politiques en Italie. 


- Les enjeux du référendum raté en Italie.



- L'Italie: un laboratoire politique (Marc Lazar).

- Article 11 de la constitution de la Ve République: "Le Président de la République, sur proposition du Gouvernement pendant la durée des sessions ou sur proposition conjointe des deux assemblées, publiées au Journal officiel, peut soumettre au référendum tout projet de loi portant sur l'organisation des pouvoirs publics, sur des réformes relatives à la politique économique, sociale ou environnementale de la nation et aux services publics qui y concourent, ou tendant à autoriser la ratification d'un traité qui, sans être contraire à la Constitution, aurait des incidences sur le fonctionnement des institutions."

- Article 89 de la constitution de la Ve République: "L'initiative de la révision de la Constitution appartient concurremment au Président de la République sur proposition du Premier ministre et aux membres du Parlement.

Le projet ou la proposition de révision doit être examiné dans les conditions de délai fixées au troisième alinéa de l'article 42 et voté par les deux assemblées en termes identiques. La révision est définitive après avoir été approuvée par référendum.

Toutefois, le projet de révision n'est pas présenté au référendum lorsque le Président de la République décide de le soumettre au Parlement convoqué en Congrès ; dans ce cas, le projet de révision n'est approuvé que s'il réunit la majorité des trois cinquièmes des suffrages exprimés. Le bureau du Congrès est celui de l'Assemblée nationale.

Aucune procédure de révision ne peut être engagée ou poursuivie lorsqu'il est porté atteinte à l'intégrité du territoire.

La forme républicaine du Gouvernement ne peut faire l'objet d'une révision."

- Extrait vidéo: allocution du général de Gaulle en avril 1969.

- Le plébiscite bonapartiste.
La question posée par le régime porte sur l'approbation des réformes libérales opérées dans la constitution depuis 1860. Les résultats: Oui :  7 350 000 / Non : 1 500 000.

- Cas des pays sans référendum.

- Le bicamérisme parfait / imparfait.


Activité: travail sur la presse quotidienne nationale. 
Analyse des principaux quotidiens: Le Monde, Le Figaro, Libération, Le Parisien/Aujourd'hui en France, L'Humanité, Les Echos, L'Opinion et La Croix.


jeudi 1 décembre 2016

Atelier 1ère - 1er décembre

Points d'actualité :
- Mort de Fidel Castro
- Référendum en Italie
- Victoire de François Fillon / projet de réforme de la sécurité sociale
- Projet de départ chez Airbus
- Grève à la Lufthansa

Élément de débat et de réflexion : Le téléchargement illégal

Point de départ :


 
Réflexion sur l'argumentaire, les acteurs, les enjeux :
- Les ayants-droit, leurs arguments, leurs propositions, leurs actions
- Les États, leur législation et leurs moyens de sanction, leurs moyens d'action
- Les internautes : leur rapport avec le téléchargement (pour/contre : pourquoi ?), leurs propositions
- Débat sur le coût de la culture / élément marchand ou élément libre / rémunération des artistes...

ATELIER EN TERMINALE - JEUDI 1er DECEMBRE 2016

Début de la séance: révision.

- L'accord climatique de Paris en 2015.
- Laïcité / laïcisme.
- Sondages.
- Bicamérisme.
- Libre-échange / protectionnisme / régionalisation des échanges.
- Conseil d'Etat.
- Etat d'urgence (France).
- Populisme.
- Plébiscite.
- Référendum.








La situation à la fin juillet 2016


jeudi 24 novembre 2016

Séance 24 novembre - 1ère

Établissement d'un profil politique : http://www.politest.fr/

Définition des grands thèmes, des grandes idées de chacune des grandes composantes du paysage politique actuel de la Vème République.

Point sur le débat de la primaire de la droite et du centre, définition des grands enjeux entre Alain Juppé et François Fillon : dimension politique, sociale, économique, géopolitique...

mercredi 23 novembre 2016

France Culture à Sciences-po le 28 novembre entre 7H et 9H.

Les Matins en direct et en public de Sciences Po au lendemain du second tour des primaires de la droite et du centre

Crédits : Lionel Bonaventure - AFP
**Lundi 28 novembre de 7h à 9h en direct et en public de Sciences Po
27 rue Saint-Guillaume - 75007 Paris

Entrée libre sur réservation : auditeurfc@radiofrance.com ou 0156401057
**
Au lendemain du second tour des primaires de la droite et du centre,Les Matins de France Culture s’installent à Sciences Po pour une matinale exceptionnelle présentée par Guillaume Erner et la rédaction en direct dès 7h !
Quel sera le candidat de droite et du centre pour l’élection présidentielle de 2017 ? Avec quel programme ? Et quelles leçons en tirer sur l’évolution de la droite en France ?
Invités, chercheurs et étudiants viennent analyser les transformations de la vie politique française.
Avec notamment Martial Foucault, directeur du CEVIPOF et la participation d’étudiants de Sciences Po

Partenaires
Sciences Po

Atelier du jeudi 24 novembre - groupe de Tle

Séance animée par M. Courvoisier

Point sur la visite de Sciences Po du mercredi 23/11 et l'avancement des revues de presse.

Thème de l'atelier: le débat du 2nd tour de la Primaire de la Droite et du Centre, opposant François Fillon à Alain Juppé


Le programme de François Fillon:
- site du candidat
- "Un programme économiquement libéral, socialement traditionnel et prorusse", Le Monde, 21/11/16

Le programme d'Alain Juppé:
- site du candidat
- "Le programme d'Alain Juppé: plein-emploi, Europe, laïcité...", Le Monde, 21/11/16

Les différences entre les 2 programmes:
"Ce qui différencie Fillon et Juppé", Le Monde, 21/11/16

Les questions économiques:
"Primaire de la droite: des programmes économiques en forme de "thérapie de choc", Le Monde, 22/11/16

L'éducation et la famille:
"Primaire de la droite: l'éducation, une priorité commune mais des différences de fond", Le Monde, 22/11/16
"Famille, école: les programmes de Fillon et Juppé sur les questions de société", Le Monde, 22/11/16

La sécurité et les questions internationales:
"Sur la sécurité, les candidats à la primaire de la droite en phase avec la gauche", Le Monde, 15/11/16
"Primaire de la droite, La nostalgie d'une "grande" politique étrangère", Le Monde, 17/11/16



dimanche 20 novembre 2016

Atelier en Terminale - Jeudi 17 novembre 2016, la CPI

Séance animée par M. MOREAUX

Point sur les revues de presse menées par chacun des élèves

Sujet d'actualité: la Cour Pénal Internationale (CPI), la justice internationale et ses limites

Départs de la CPI : http://www.liberation.fr/planete/2016/10/21/pourquoi-le-burundi-et-l-afrique-du-sud-quittent-ils-la-cour-penale-internationale_1523590

Pression sur la CPI :
Etats-Unis : http://premium.lefigaro.fr/flash-actu/2016/11/16/97001-20161116FILWWW00040-washington-juge-injustifiee-une-enquete-de-la-cpi-sur-l-afghanistan.php
Russie : http://abonnes.lemonde.fr/international/article/2016/11/16/decue-par-la-cpi-la-russie-veut-retirer-sa-signature-du-statut-de-rome_5032138_3210.html?xtmc=russie_cpi&xtcr=3

Débat sur le rôle, les fonctions et les moyens d'action de la CPI

Echange d'idées sur le débat de la primaire de la droite et du centre du soir même.

Attention, visite à Science po ce mercredi 23 novembre après-midi.

mercredi 9 novembre 2016

Atelier du jeudi 10 novembre 2016 - groupe de Tle

Séance animée par M. Courvoisier

Point sur les revues de presse menées par les élèves

Information: visite de Sciences Po Paris

Visite de Baptiste Cha et Alix Biffot, anciens élèves de l'atelier, actuellement étudiants en 2ème année à Sciences Po: échanges avec les élèves

Sujet d'actualité: la victoire de Donald Trump à l'élection présidentielle américaine (non traité)


- Qui sont les électeurs qui ont voté pour Trump?

- Quelles sont les raisons de cette victoire?

- Quel est le programme de Donald Trump?



lundi 7 novembre 2016

ATELIER DEMI-GROUPE DE PREMIERE - JEUDI 10 NOVEMBRE 2016

Notions abordées par les élèves (mini-exposés):
- conservatisme / néo-conservatisme.
- gerrymandering / découpage électoral.
- Cour suprême des Etats-Unis.
- Big data / sondage électoral
- libertarianisme.
- participation politique / taux de participation

- Enjeux de la COP22 (article).

- Enjeux de la COP22 de Marrakech (vidéo).

- Synthèse des programmes Clinton / Trump. 

- Quiz sur le bilan d'Obama.

- Deux générations d'engagement pour la cause noire aux USA.

- Fonctionnement du collège électoral des Etats-Unis.

- Profil de l'électeur moyen de Trump.



- Profil de l'électeur moyen de Clinton.


- Résultats du collège électoral et en nombre de voix au niveau national.


- Présidentielles de 2000: Bush contre Gore.


- Premier exemple fameux de spot de campagne aux USA.



jeudi 3 novembre 2016

ATELIER - Première - jeudi 3 Novembre 2016

1er thème - la privatisation des aéroports de Lyon et Nice : pour ou contre ?

Aéroport de Nice: le département des Alpes-Maritimes vend 4% de ses parts Aéroport de Nice - Côte d'Azur

-  les spécificités des aéroports et des territoires.
- les acteurs institutionnels / économiques / société civile et leurs positionnements sur la privatisation
- les débats soulevés par les privatisations

Pour poursuivre la réflexion :
- une chronique de France info :
http://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-decryptage-eco/privatisation-des-aeroports-de-nice-et-lyon-la-fausse-polemique_1786617.html 
- un débat entre deux économistes de tendances différentes  ( membre des économistes atterrés /  journaliste des Echos)
http://www.francetvinfo.fr/economie/aeronautique/le-duel-eco-a-qui-profite-la-privatisation-des-deux-aeroports-francais_1899903.html

2nd thème : La fin de l'opération Sangaris en Centrafrique

- décrypter les acteurs et les enjeux
- le contexte historique et géopolitique
- cette opération n'est - elle qu'une opération militaire ?

carte forces francaises Afrique
http://www.rfi.fr/afrique/20140217-infographie-mouvements-forces-militaires-francaises-afrique

 Vidéo : J.Y. Le Drian annonce la fin de l'opération Sangaris




ATELIER EN TERMINALE LE JEUDI 3 NOVEMBRE 2016

Informations sur le calendrier et sur la visite programmée de Sciences-po.
Circulation feuille sur sujets de revue de presse.

Sujets:
Analyse des documents d'accès rapide:
  1. - Les enjeux du CETA.
  2. - La campagne électorale aux Etats-Unis (Donald Trump).
  3. - La campagne électorale aux Etats-Unis (Hillary Clinton).
  4. - L'offensive sur Mossoul.
  5. - La guerre au Yémen.
  6. - Un nouveau secrétaire général pour l'ONU.
  7. - La bataille d'Alep.
  8. - Les enjeux du mouvement social à I-télé.
  9. - L'héritage de Shimon Pérès.
  10. - Le démantèlement de la jungle de Calais.
  11. - Les enjeux de la primaire à droite en France.
  12. - La primaire à droite: un mélange des genres?

vendredi 14 octobre 2016

ATELIER Terminale - 13 Octobre 2016 - Lancement de la revue de Presse

Rappel :
La revue de presse doit s'étendre sur une période de 6 semaines. Nous vous donnons un cadre de 8 semaines du 13/10 au 8/12/2016.
Pour les questions plus précises sur le contenu de la revue de presse, je vous renvoie aux infos en marge du blog et à d'anciens articles postés en attendant la prochaine séance.

Début de réflexion sur les sujets . voilà qq pistes qui se sont détachées
- les jeunes en campagne
- le populisme en All ? en Pologne ? en Hongrie ?
- Les candidats alternatifs dans l'élection présidentielle américaine.
- La crise brésilienne / venezuelienne
- L'ouverture de Cuba
- Les investissements chinois en Afrique
- La Corée du Nord

Bon courage !

ATELIER Terminale - 13 octobre 2016 - Thèmes d'actualité

Quelques documents en lien avec les sujets d'actualité évoqués ce jour

La guerre au Yémen



Pour revoir la  vidéo vue pendant l'atelier et les photos d'un reporter de guerre : http://www.telerama.fr/monde/guerre-au-yemen-un-portfolio-et-une-video-pour-mieux-comprendre,136817.php
Et un excellent article du Monde diplomatique : http://www.monde-diplomatique.fr/2016/03/BONNEFOY/54923 

L'Etat d'urgence en Ethiopie
Article du Monde assez synthétique : http://www.lemonde.fr/afrique/article/2016/10/09/ethiopie-le-gouvernement-declare-l-etat-d-urgence_5010680_3212.html

L'article de  Libération lors de la visite d'A. Merkel rappelle de nombreux enjeux :  http://www.liberation.fr/planete/2016/10/11/en-etat-d-urgence-l-ethiopie-accueille-merkel-preoccupee-par-les-flux-migratoires_1520958

On se demandait hier qui réagirait , et bien voilà : http://www.voaafrique.com/a/ethiopie-mise-en-garde-des-etats-unis-contre-l-etat-d-urgence/3547049.html 

Le refroidissement des relations franco- russes  
En savoir plus sur la fameuse cathédrale orthodoxe de Paris : http://www.la-croix.com/Religion/France/A-Paris-la-cathedrale-russe-que-Poutine-n-inaugurera-pas-le-19-octobre-2016-10-12-1200795776
Le véto russe à la résolution française : http://www.lefigaro.fr/international/2016/10/08/01003-20161008ARTFIG00170-syrie-la-russie-oppose-son-veto-a-la-resolution-de-la-france-a-l-onu.php
Pourquoi Poutine reporte - t - il sa venue à Paris : http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/guerre-en-syrie/20161011.OBS9664/reactions/
Poutine répond aux accusation de crime de guerre : http://www.20minutes.fr/monde/1941563-20161013-accusations-crimes-guerre-syrie-poutine-repond-hollande-tacle-occidentaux

vendredi 7 octobre 2016

ATELIER TERMINALE - 6 Octobre 2016

Reprise sur l'intervention de Mr Olivier Faure, député.
Réflexion à mener sur les notions de parlementarisme rationalisé / démocratie collaborative / régime primo-ministériel.
Recherches à conduire sur la supervision bancaire et la Taxe Chirac ainsi que sur Itzhak Rabin et Shimon Peres.

Etude d'un corpus documentaire : "de l'usage du référendum"
- Mise au point sur le référendum sur l'accord de paix en Colombie et retour sur la guérilla des FARC.

- Mise au point sur le référendum sur l'accueil des migrants dans l'UE organisé en Hongrie.
- Mise au point sur la première votation populaire organisée à Grenoble après le dépôt d'une pétition citoyenne.
http://www.grenoble.fr/861-petition-citoyenne-soumise-au-vote.htm
- Réflexion sur les enjeux du recours au référendum.

 Etude d'un corpus documentaire sur les nouvelles modalités de financement des régions françaises
- Retour les réformes de décentralisation de 1982-83 et 2003
- Retour sur la loi NOTRe

- Réflexion sur les enjeux de ce nouveau financement fondé sur la récupération d'une partie de la TVA.


mardi 4 octobre 2016

ATELIER TERMINALE - JEUDI 6 OCTOBRE 2016 (?)

Sujets potentiels:
- La situation en Syrie. La question de l'ingérence.
- L'Espagne: la fin du bipartisme?
- L'identité nationale en France / La notion d'hégémonie culturelle.
- Le référendum en Colombie.
- Le référendum en Hongrie.
- Le centre en France: une force politique?
- Le financement des régions en France: du changement.
- La crise politique en République Démocratique du Congo (RDC).

Sujets non traités la dernière fois par faute de temps.
- L'amende de 13 milliards d'€ infligée à Google.



lundi 3 octobre 2016

Confirmation d'une tendance engagée depuis plusieurs années à Sciences-po.

Sciences Po s’affirme comme une « business school »

LE MONDE | | Par



Lundi 3 octobre, Frédéric Mion, président de Scicences Po, présente le projet d’ « Ecole du management de l’innovation » entouré de ses deux futurs codirigeants, Marie-Laure Djelic et Benoît Thieulin.
Traditionnellement tournée vers la formation des responsables du service public, Sciences Po poursuit son repositionnement vers le secteur privé : l’Institut d’études politiques de Paris a annoncé, lundi 3 octobre, le lancement de son « Ecole du management et de l’innovation », à compter de la rentrée 2017.
Concrètement, il s’agira, dans un premier temps, de regrouper à Paris les mille étudiants de ses masters actuels sur ces thématiques ainsi que les activités de recherche et de formation continue de son programme grande école et de son école de communication.

Attirer les étudiants internationaux

A l’heure où trois-quarts (73 %) des diplômés de Sciences Po rejoignent le secteur privé, et 43 % débutent leur carrière à l’international, l’ambition fixée est de former les « entrepreneurs du changement ». L’accent sera mis sur le management, la professionnalisation et la culture de l’innovation, tout en gardant la spécificité de l’institution de la rue Saint-Guillaume, avec une approche par les sciences humaines et sociales et donc d’une sensibilisation aux « humanités numériques », soit les transformations produites par le numérique dans la société.
Si elle s’affirme de plus en plus comme une « business school », Sciences Po entend néanmoins, dans la lignée de son histoire, expliquer la complexité des mutations en cours et envisager la contribution des entreprises au « bien commun ».
Le projet d’école a été élaboré par un comité de préfiguration composé de chefs d’entreprise et d’enseignants, sous la présidence d’Alexandre Bompard, PDG de Fnac Darty. Son but reste d’attirer notamment des étudiants internationaux, qui représentent déjà la moitié des effectifs de Sciences Po. L’école sera aussi largement ouverte aux élèves ingénieurs ou de design ayant passé des conventions avec l’Institut et qui bénéficient d’une « procédure d’accès simplifiée » sur dossier et entretien, a indiqué lundi son président, Frédéric Mion.
Inscrite dans le cursus et le diplôme de Sciences Po, la scolarité au sein de l’Ecole de management de l’innovation coûtera le même tarif qu’actuellement, soit de 0 à 13 500 euros par an, en fonction les revenus des parents (soit 5 000 euros en moyenne).

« Repenser la formation des managers »

Venue de l’Essec, Marie-Laure Djelic, qui va codiriger cette nouvelle école, défend la spécificité de celle-ci en faisant référence aux préconisations de la Carnegie Mellon University aux Etats-Unis : « Il faut repenser la formation des managers qui ne doit plus être fondée sur les seules sciences de gestion mais sur des sciences humaines et sociales transdisciplinaires appuyées sur le secteur professionnel. Les business schools qui ne sont pas adossées à une université ne peuvent pas le faire », souligne-t-elle.
Aux cinq spécialités de masters déjà existantes (finance et stratégie ; economics and business ; organisation et management des ressources humaines ; marketing et études ; communication et industries créatives) s’ajouteront, dans un proche avenir, deux ou trois nouvelles spécialités, notamment autour du numérique.
Selon Benoît Thieulin, qui va passer de la direction de l’école de communication de Sciences Po à la codirection de la nouvelle entité, deux mois de travail sont encore nécessaires pour finaliser le projet et les maquettes des formations. Mais, explique-t-il, le processus de renouvellement des enseignements est déjà lancé, avec par exemple l’introduction récente de cours de codage informatique.
La création d’un « FabLab » est également prévue dans le cadre des nouveaux locaux que Sciences Po est en train d’acquérir et qui pourraient ouvrir en 2018. « J’en rêve ! », sourit-il. Une vraie révolution culturelle : réputés « intellos », les étudiants de Sciences Po pourront, à leur tour, s’initier au « bidouillage » informatique et électronique ou à l’impression 3D, rejoignant une tendance en vogue dans les établissements d’enseignement supérieur, écoles d’ingénieurs comme universités.

vendredi 30 septembre 2016

Séance du jeudi 29 septembre 2016 - groupe de 1re

Séance animée par Mme Gianfermi et M. Courvoisier

Préparation de la conférence du jeudi 6 octobre à 15h :

- introduction: le pouvoir parlementaire, le mode d'élection des députés, le rôle du député, la composition de l'Assemblée Nationale actuelle et la réforme de 2008.

- séparation des élèves en 2 groupes, chacun travaillant sur un document :
* "Pour un 'Grenelle de la Circulation' en Ile-de-France, tribune d'Olivier Faure dans Le Monde du 24 septembre 2016
* "Olivier Faure, le député 'plastique' rabroué", Le Monde, 7 juillet 2016 

- mise en commun et synthèses des 2 articles

- élaboration de questions sur différents thèmes: le rôle du député, le bilan de la législature 2012/2017 et les projets pour la suivante, les enjeux locaux, les questions d'actualité...